Géraldine Maillet révèle son passé d’addiction
Ce dimanche 21 avril dans Face à Hanouna, Géraldine Maillet a fait une révélation concernant son passé. La chroniqueuse est revenue sur son ancienne addiction.
Géraldine Maillet revient sur son addiction passée
Alors qu’il évoquait le témoignage de Gad Elmaleh sur son addiction à l’alcool, Cyril Hanouna a demandé à ses chroniqueurs s’ils ont déjà été victimes d’addictions. La réponse fut positive pour Géraldine Maillet. « J’ai eu une période de ma vie où j’ai eu une addiction. Il y a vingt ans. Au sport. C’était le footing« , confie-t-elle.
La chroniqueuse ne cache pas que cette addiction était sérieuse. « C’était dangereux parce que je courais tous les jours. En faisant du sport, on sécrète beaucoup d’endorphine, donc ça stimule, après c’est une drogue, c’est-à-dire qu’on en a besoin, donc on a toujours besoin de courir. Et moi, normalement je courais deux, trois fois par semaine et à un moment donné, je me suis vue courir tous les jours et même plusieurs fois par jour parce que ça me manquait« , explique-t-elle.
Si tout semble aller mieux aujourd’hui, Géraldine Maillet n’explique pas comment elle s’est sortie de cette addiction au sport.
Géraldine Maillet revient sur les critiques sur son physique
La chroniqueuse ne donne pas les raisons de ce besoin de faire du sport constamment, mais elle semble maintenant plus à l’aise avec son corps. Il y a quelques mois, elle évoquait les nombreuses critiques qu’elle pouvait recevoir sur son physique sur les réseaux sociaux. « On est tout le temps jugées sur le physique. Souvent, j’ai ‘vieille jument’, ‘vieille girafe’. Ça revient très souvent, c’est un de mes best-of« , déclarait-elle.
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L’addiction passée de Géraldine Maillet au sport met en lumière les dangers auxquels peuvent être confrontées les personnes développant une dépendance. Cette révélation personnelle permet de sensibiliser à l’importance de l’équilibre et de la modération, même dans des activités considérées comme saines.
De plus, la chroniqueuse montre une nouvelle fois sa résilience en faisant face aux critiques sur son physique et en assumant sa confiance en elle. Un message fort pour l’acceptation de soi et la lutte contre le cyberharcèlement.
